Les faux positifs sont très élevés en nombre (lien article). Ils impactent les coûts de télésurveillance et dégradent fortement l’expérience utilisateur. Bon nombre de solutions ont été mises en œuvre pour réduire leur nombre et mieux les maîtriser. Toutes ces solutions trouvent cependant leurs limites et la majorité des faux positifs ne peuvent être empêchés.
À travers cet article nous vous proposons de découvrir comment nous parvenons à réduire par 50 le nombre de ces fausses alertes grâce à notre technologie Keepen.
Repenser une solution avec zéro manipulation
Nous arrivons aujourd’hui au bout de ce qui a été fait pour réduire le nombre de faux-positifs. Jusqu’à présent, la démarche a toujours était de faire des ajustements sur le système ( augmentation des temporisations ) ou de rajouter des briques technologiques pour diminuer leur impact ( prise de photos, serveur vocal, etc. ). Voir article
Chez Keepen, nous nous sommes attaqués au fond du problème, à savoir les manipulations ( cf article causes ). Et nous avons conçu un système qui fonctionne en permanence sans que l’utilisateur n’ai aucune manipulation à effectuer.
En supprimant les manipulations :
- Nous divisions par 50 le nombre de faux positifs ce qui permet de réduire considérablement les coûts de la télésurveillance.
- Nous offrons une meilleure expérience utilisateur, moins anxiogène. L’utilisateur n’a plus à se soucier de son alarme ( Voir article sur l’expérience utilisateur ).
Vers un nouveau modèle de surveillance
Jusqu’à présent il existait deux types d’offres de surveillance sur alarme :
- D’une parte les offres de télésurveillance, 100% humaines 🙍♂️ avec, des prix élevés mais un niveau de qualité élevé et la garantie d’être pris en charge en cas d’incident.
- D’autre part, les offres d’auto-surveillance, 100% digitales 📱, où on fait tout soi-même, mais le niveau d’intempestif était tel qu’on finissait par ne plus rien faire soi même.
Chez Keepen nous pensons que le digital doit être au service de l’humain et que ces deux types de surveillance ne doivent pas s’opposer. En cas d’alerte, l’utilisateur effectue d’abord une auto-surveillance puis une télé-surveillance humaine prend le relai si aucune action n’a été prise ou si la situation l’exige.
Ce modèle n’est rendu possible que grâce à la réduction significative du nombre de faux positifs. En effet, auparavant le nombre trop important de faux positifs rendait impossible la mise en oeuvre d’une auto-surveillance. L’utilisateur devait à chaque fois se rendre disponible et traiter consciencieusement l’alerte. Au bout de plusieurs intempestifs successifs, le risque était qu’il ne s’implique plus dans l’auto-surveillance. Seul restait alors la télé-surveillance.
Redonner toute sa valeur à l’opérateur de télésurveillance
Dans ce nouveau modèle de surveillance, l’humain est remis au cœur de la sécurité. L’opérateur n’a plus à perdre de temps sur la levée de doutes des faux-positifs. Il se concentre sur les situations réellement à risque où sa prise en charge est attendue. Ses capacités sont mises en avant et son intervention est à forte valeur ajoutée.
Par ailleurs, cela permet d’offrir les services premium de la télésurveillance humaine à des coûts inférieurs et de la rendre accessible à un plus grand public.
Pour conclure
Élaborer une solution sans manipulations permet de réduire drastiquement le taux de faux-positifs et de remettre l’humain au coeur du service de télésurveillance, à sa véritable valeur.